Son constat de base est "notre soci�t�
moderne est une soci�t� d'organisations"
; elle se caract�rise par des organisations nombreuses,
importantes, et complexes. Jusqu'� un certain point,
la rationalit� des organisations et le bonheur humain
sont solidaires (les organisations sont des unit�s
sociales d�lib�r�ment construites par
rapport � des buts sp�cifiques). Il est l'un
des fondateurs de l'�cole structuraliste (contraire
du comportementalisme). C'est-�-dire la pr�dominance
des structures sur les comportements.
Les r�sultats d'une organisation sont expliqu�s
par une relation d�terministe entre les structures
qui induisent les comportements g�n�rateurs
de r�sultats. De l'�cole structuraliste, viennent
les efforts d�lib�r�s de l'organisation
pour r�compenser ceux qui se conforment aux r�glements
et � ses ordres et pour p�naliser ceux qui ne
le font pas. Le respect des normes est obtenu par une distribution
formellement structur�e des sanctions, par le pouvoir
coercitif, l'argent et le pouvoir normatif (estime, acceptation).
Etzioni d�termine trois degr�s de participation
des membres dans leur organisation: ali�nation, implication
calcul�e, implication morale. Les organisations diff�rent
non seulement par le type de pouvoir et le? type d'implication,
mais aussi en raison d'autres aspects tels que: le r�le
du leadership, le pouvoir de p�n�tration des
m�thodes et des normes et r�glements, le champ
d'action.
Il d�finit, ainsi, la soci�t� en termes
de pouvoir :
- Le pouvoir COERCITIF, la force physique (camisole de force,
HP, prison)
- Le pouvoir UTILITAIRE, reconnaissance du travail par l'argent
: l'homme est pouss� � produire ce qui est utile
� la soci�t�
- Le pouvoir NORMATIF, gratification non financi�re,
�thique, reconnaissance des talents (ex: les associations).
Valorisation de l'homme par la qualit� morale de ses
activit�es altruistes (ex: b�n�volat)